reprit de nouveau en 1466, sous l’instigation et avec l’aide financière de Jacques d’Amange ou d’Insming, vicaire gé­néral, qui fit construire la partie nord du transept (N.-D, la Tierce). Cette aile fut terminée en 1504. Cette même année, Jacques d’Insming posa la première pierre de la branche sud du transept (Saint-Nicolas). En 1522, choeur et transept étaient com­plètement terminés. Ce fut vers cette date qu’eut lieu la consécration de l’édifice.
La cathédrale est l’oeuvre de plu­sieurs architectes, dont le principal est Pierre Perrat, mort en 1400. On voit encore son épitaphe restaurée, à gauche de la porte de la sacristie basse.
La belle rosace au-dessus du grand portail est l’oeuvre d’Hermann de Munster, mort en 1392. Son épita­phe est près de la cuve de porphyre. Cette cuve antique provient des anciens bains que les Romains avaient créés à Metz. Du même côté on honore N.-D. de Bonsecours; journellement la piété populaire y fait brûler quan­tité de cierges. Les vitraux qui sont en cet endroit comptent parmi les plus anciens de la cathédrale. Ce sont