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Histoire


SITUATION
De la rue Harelle à l'avenue Jean XXIII

ANCIENS NOMS
- 1903-1918 :
Kaiser Wilhelm Ring (boulevard Empereur Guillaume)
- 25 novembre 1918 :
nommée par la Commission municipale : avenue Maréchal Foch
- 1940-1944 :
Hermann Göringstrasse


PERSONNALITES
Maréchal Foch

:
Né à Tarbes le 2 octobre 1851, Ferdinand Foch est mort à Paris le 20 mars 1929. Élève des Jésuites à Metz, il devient professeur à l'École de guerre, qu'il commande en 1907, et publie deux maîtres livres :

Principes de la guerre (1903) et Conduite de la guerre (1904). Au cours de la Première Guerre mondiale, il contribue à la victoire de la Marne, puis arrête sur l'Yser la « course à la mer» des troupes allemandes et s'illustre en Artois et sur la Somme. Généralissime des troupes alliées le 26 mars 1918, maréchal le 7 août suivant, il signe l'armistice le 11 novembre.
Élu à l'Académie française (1919), il refuse de s'engager dans l'action politique, se contenant de rédiger ses Mémoires (1929-1931). En une décennie, il a honoré Metz d'une dizaine de visites : « Je ne peux oublier que ma vie messine s'est passée en partie pendant les années sombres de la défaite. A Metz, j'ai appris à travailler dans un but précis :

« Il fallait rendre à la France ce qu'elle avait perdu. Si j ai contribué à cette œuvre, c'est que j ai appris à Metz à travailler. Nous nous y sommes consacrés avec acharnement, afin de

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pouvoir aboutir au but que nous voulions atteindre. C'est sous cette impression que je suis parti de Metz, et je suis heureux de m'y retrouver aujourd'hui ».

HISTOIRE
Créée en 1903 sur l'emplacement des anciens remparts et des fossés remplis d'eau qui défendaient autrefois l'accès de la ville, cette large avenue reliait à l'origine les places Mazelle à Raymond Mondon.
Depuis 1964, elle est amputée à partir de la rue de la Gendarmerie de son tracé oriental, devenu avenue Jean XXIII. La largesse de l'avenue a permis la liaison harmonieuse entre l'ancienne (quartier Saint-Thiébault) et la nouvelle ville. A l'emplacement du n° 38 se trouvait la porte Saint-Thiébault, démontée en 1909 pour ne jamais être réédifiée.






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