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Généralités


SITUATION
De la rue du Faisan et de la rue Pierre-Hardie aux rues Sous-Saint-Arnould et du Moyen-Pont. HISTOIRE
Elle doit son nom au monastère des religieuses de Sainte-­Marie, situé dans la partie sud-ouest de la ville, à l'intérieur de l'enceinte, à l'endroit du square devant l'hôtel du gouverneur. Cette précision topo­graphique se trouve dans l'ouvrage de M. l'abbé Bour, déjà mentionné.
Les religieuses furent transférées

en 1562, par suite de la construction de la citadelle, à l'hôpital du Petit-­Saint-Jean, appartenant à l'Ordre de Malte, situé au bas de la rue Pierre­-Hardie, entre la rue du Faisan et le quai Saint-Louis actuels. Ce monas­tère fut réuni à celui de Saint-Pierre, en 1762, pour former le chapitre royal noble et séculier de Saint-­Louis, qui fut établi dans le local même de Sainte-Marie, où il exista jusqu'à la Révolution.
En 1793, la voie prit le nom de rue ci-devant Sainte-Marie Elle doit son nom au monastère des religieuses de Sainte-Marie, fondé vers 985, dans le voisinage de la citadelle

actuelle et transféré, en 1562, dans les bàtiments ayant appartenu aux chevaliers de Rhodes, dit l’hôpital du Petit-Saint-Jean, et situés au bas de la rue Pierre-­Hardie entre la rue actuelle du Faisan et le quai Saint-­Louis qui fut établi dans le local même de Sainte-Marie.
A sa suppression par la Révolution, les maisons cano­niales furent vendues. L’église de Sainte-Marie, située à l’angle de la rue Sainte-Marie et de la rue de la Paix, devenue un magasin d’épicerie fut détruite par un incen­die le 25 juin 1833. Sur son emplacement a été construite la maison actuelle (rue de la Paix, no 2).






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