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russe commandée par le général Borasdin et le prince Scherbatoff, pendant l'occupation de 1814. Un fort détachement de la garnison de Metz alla, dans la nuit du 6 au 7 mars, enlever leurs magasins, et ramena dans la place quatorze voitures d'avoine, treize



treize

Aux cotés du maître Échevin, il existe le Conseil des Treize. Ces personnages sont choisis parmi les membres des Paraiges, ils sont élus tous les ans. Ce conseil participe à l'élaboration, à la publication et à l'exécution des lois. Il ....

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autres de fourrages et une dernière chargée de dindons. ( Dict. de M. Viville.)
Complètement restauré depuis 1830 par M. le marquis de Chérisey, maréchal-de-camp, et d'après ses plans par Mme de Chérisey, il présente deux belles façades: l'une, sur le parc, est terminée par deux pavillons forts élevés; l'autre, sur une cour très vaste, est encadrée dans deux ailes dont les proportions, un peu étendues, sont diminuées par d'autres pavillons qui les terminent du côté du village.
On ne connaît rien des bans de Lalleuf et de Saint-Pierre, si ce n'est que de nombreux actes en font mention au XIIIe siècle, et lorsque Renaud de Chérisey les engagea, en 1276, à Jean de La Court. Ils furent divisés en 1294 entre Henri, Louis, Bertrand et Renaud de Chérisey, dont les descendants prirent le nom de Nouroy et devinrent seigneurs de Port-sur-Seille.
Louis de Chérisey fit les premières reprises connues pour le ban de Lalleuf, de l'évêque de Metz, en 1325. N'ayant pas eu de postérité suivie, ses biens retournèrent aux successeurs de Henri.
Les premières reprises connues pour le ban de Saint-Pierre, du duc de Lorraine, sont de 1400. Dans l'acte qu'il en fait, Jean de Chérisey dit expressément "qu'il ne reprend ces biens, qui sont son franc alleu, que pour certaines et justes causes à ce le mouvant".
Ce ne fut qu'en 1616 que Jean de Chérisey, cinquième du nom, racheta, par acte passé au château de Serrières, la part des seigneurs de Port-sur-Seille. On verra comment les bans de Saint-Symphorien et de Sainte-Glossinde vinrent aussi se réunir à la masse générale dont de pieuses libéralités les avaient détachés.
La première aliénation connue à Chérisey est antérieure à 1112. Cette année, Cunégonde, dans un acte par lequel elle abandonne une de ses meilleures suivantes, du nom de Nechilde, à l'abbaye de Saint-Arnould, rappelle la donation qu'elle avait déjà faite à cette abbaye, à la prière de Walon, de
son droit qu'elle avait à Chérisey, en bois terres, hommes et ban (sui juris quod habebat apud Carisiacum, in silva, terra, hominibus atque banno).
L'an 1092, la même Cunégonde donne avec Malfride, son mari, et ses fils, à la même abbaye, l'église de leur alief de Wisse, pour le repos des âmes de son père et de sa mère, Evenon et Marthe.
Ces biens sont rappelés en ces termes par deux bulles consistorial



consistorial

Qui apartient à un consitoire. Un consistoire c'est une assemblée de ministre du culte et de laïques élus pour diriger les affaires d'une communauté religieuse.


Petit Robert 1997

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es d'Alexandre III, en 1179, et de Célestin III, le 25 mai 1192:

« tertia pars allodii Cariseio quae pertinet ad elemosynam pauperum. »
(Histoire de Metz, preuves; les originaux n'ont pas été retrouvés.)

Il est probable qu'ils passèrent à l'abbaye de Saint-Symphorien, dont ils augmentèrent ou formèrent le ban; car il n'en est plus parlé qu'en 1791, lors de la liquidation que fit M. le marquis de Chérisey, lieutenant-général, mort en 1794.
Le ban de Saint-Symphorien n'est connu qu'en 1219 et 1220. Avant cette époque, et probablement pendant que Renaud de Chérisey,